Vingt ans après la loi Handicap, à la note 15 de mon billet daté du 11 février, je renvoyais à l’encadré de Jean-François Marmion, « TDA/H : quand l’attention s’enfuit », Sciences Humaines févr. 2025, n° 375, p. 48, qui termine en précisant que ce trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité « concerne 4 à 6 % des enfants. Un tiers reste affecté à l’âge adulte » ; v. aussi ameli.fr et, toutefois, la recension par le même auteur de deux études publiées en octobre 2024, « TDA/H : une épidémie d’autodiagnostic aux États-Unis », Sciences Humaines mars 2025, n° 376, p. 17 : « En un mot, beaucoup d’Américains semblent se croire (à tort) atteints de TDA/H, tandis que ceux qui ont réellement été diagnostiqués peinent souvent à se soigner. Et tous pourraient envisager de recourir à des pilules miracles d’ores et déjà proposées par des charlatans… ».
L’entrée TDAH renvoie aussi à une ordonnance de référé puis un arrêt, cité·es aux note 39 et 60 de ce même billet.
Note en cours de rédaction lors de sa création le 22 déc.

